MA VOLUPTE
Ta chevelure exquise est un buisson ardent
Qui mon coeur illumine et mes yeux rassérène!
Lorsque je la respire, ô ma pudique reine,
Je découvre un plaisir presque abracadabrant,
Le plaisir de t'aimer, jour après jour, plus fort,
Pour vivre à tes côtés les liens de la tendresse
Et t'aimer tout autant qu'une belle princesse
Au yeux doux, au coeur tendre, dont l'unique trésor
Est la limpidité de son âme sublime.
Dans tes yeux souverains qui versent leur douceur
Dans mon âme charmée, mon amour, je m'abîme,
Comme si maintenant je m'abîmais en Dieu
Afin de retrouver le paradis perdu
Que je foule avec joie en baisant ton corps nu,
En plongeant mon regard dans tes pudiques yeux,
En te faisant l'amour voluptueusement
Et en te désirant, délicieuse enfant:
Dans tes bras protecteurs d'où jaillit la tendresse
Je suis au paradis et mon coeur en liesse
Chante sa bonne humeur à respirer ton corps
Qui m'est plus précieux que les plus chers trésors
Et sous lequel je croule de plaisir intime.
Tu es tendre et divine et profonde et sublime
Et douce et délicate et charmante et câline
Et j'aime la douceur ineffable et divine
De tes seins maternels qui réchauffent mon coeur
En m'offrant vastement leur plus tendre douceur.
Oh! tes seins! Sucres doux! Bonbons très savoureux!
Barbe à papa sucrées! sucettes agréables!
Sont mes granges, mon foin, mes douillettes étables
Où je dors et je mange à loisir, où je peu-x
Vivre mon idéal d'amour et de douceur
Et combler les besoins de mon sensible coeur.
Tes vertigineux seins, troublante chair exquise,
Aux mamelons plus ronds que de rouges cerises,
Tes seins voluptueux d'une blancheur troublante,
Je les suce avec joie et douceur, mon amante,
Puisant dans leurs douceurs ineffablement pures
Des joies et des gaietés juvéniles et mûres
Qui me font vénérer ta poitrine altière
Dont la beauté parfaite jamais ne s'altère,
Et dont la chair sucrée, offerte à mes baisers,
Frissonne sous ma langue. Dans les verdoyants prés
De tes seins magnifiques où je me repose,
Je goûte un abandon merveilleux, le doux rose
Opalin de leur chair joliment lactescente
Couronnant ta beauté qui presque m'épouvante
Tant elle resplendit. Sous tes siens provocants,
Doux, tendres, féminins, maternels, cajolants,
Tendrement je jouis, buvant dans leur douceur
L'essence du sacré qui rajeunit mon coeur
Et me fait t'adorer voluptueusement
Avec une gaieté de tout petit enfant.
Tes seins sont mon festin dont, oui, moi je ripaille,
Leur candeur mirifique me tue et m'assaille,
Leur douceur me sidère et leur très infinie,
Très pure et très parfaite et vaste symétrie,
Les rend, ô mon enfant, presque incroyablement
Voluptueux et doux. Ils sont un agrément
Divin qui embellit ton corps dont je suis fou,
Me faisant t'adorer, humblement, à genoux,
Pour mieux porter aux nues ta riante beauté
Dont l'infinie, sacrée et calme majesté
Fait de toi ma déesse adorablement tendre
Dont je veux pour toujours profondément m'éprendre
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