Afin de pouvoir vivre en harmonie et heureux en couple, la femme a besoin d’admettre que la sexualité est très différente chez l’homme.
La compréhension de la sexualité de son partenaire lui permettra de gérer la santé sexuelle du couple avec indulgence.
La sexualité au masculin !
L’homme a un organe génital extérieur qu’il n’arrive toujours pas à dominer. Il dépend alors de son membre viril qui lui impose le beau et le mauvais temps. Il peut avoir envie d’une femme sans qu’il éprouve un sentiment pour elle. Certains hommes abusent délibérément de cet état de chose afin d’avoir plusieurs femmes, pour la seule satisfaction sexuelle ou par besoin physiologique.
Généralement, l’homme fantasme et s’enflamme facilement de désir. Il cherche à éteindre le feu qui le brûle, et son désir est vite assouvi par un orgasme vite atteint, parfois sans se soucier si le plaisir est partagé par la femme. L’homme affirme sa virilité et sa puissance en faisant la conquête d’une femme et prend souvent l’initiative de l’acte sexuel. Cependant, il arrive que son pénis lui joue des tours et refuse de lui obéir, juste au moment crucial.
Ceci entraîne une immense humiliation pour l’homme et une profonde frustration chez la femme qui est blessée par son amour propre de femme, de n’avoir pas pu mener à bien « sa mission ». L’homme aussi doit connaître son anatomie et son « fonctionnement » pour satisfaire sa partenaire et éviter frustrations et amertumes dans le couple. Les troubles de la sexualité chez l’homme
Parmi les difficultés sexuelles, les plus évoquées par la femme sont l’éjaculation précoce / prématurée et le multipartenariat de son partenaire. En effet, certains hommes n’arrivent pas à déterminer les signes prémonitoires de l’orgasme ni à maîtriser l’excitation sexuelle, empêchant ainsi le contrôle de l’éjaculation ou l’orgasme.
Un problème qui tourmente le plus l’homme, réside dans l’impuissance qui peut être complète par absence d’érection, absence ou insuffisance d’orgasme. Elle peut être d’origine organique ou psychique et favorisée par le stress ou l’appréhension d’un échec. Selon l’appétit sexuel, l’homme peut être hypoérotique (activité sexuelle réduite), hyper érotique (inassouvissement, insatisfaction comme les Don Juan) ou autoérotique (masturbation, fantasmes sexuels). Enfin, comme chaque chose a une fin, irréfutablement, arrive l’âge du déclin sexuel. C’est la période critique de restriction ou même d’abstention.
Elle se caractérise par des attitudes réactionnelles de résignation mais souvent de refus, de nostalgie, de jalousie envers la jeunesse. C’est l’âge des « meilleurs souvenirs ».
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